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Hiking : Tungurahua Versant NNW de Baños via le refuge Nicolas Martinez

Cet itinéraire vous est proposé par la communauté Camp to Camp. Cliquez ici pour y accéder directement sur leur site web.

!!!! Attention, ces informations sont données de mémoire à partir d'une sortie datant de 1987.
!!!! Depuis 1987, date de l'ascension, le Tungurahua s'est mis en colère plusieurs fois (1999 - 2006 - 2011).
!!!! Les pentes ont dû bouger et le refuge n'est peut-être plus ouvert.

**Itinéraire :**

En résumé on fait : Banos - Pondoa - refuge1 - refuge 2 - sommet.

Extrait Wikipédia assez juste :
*L'ascension du Tungurahua est peu difficile, avec un peu de neige au sommet. Les meilleures saisons sont de décembre à janvier et de juillet à août. En période d'activité du volcan, il est fortement déconseillé d'entreprendre l'ascension du Tungurahua. Même l'accès aux refuges est peu recommandé, sachant que le toit de ceux-ci a été, à plusieurs reprises, perforé par des bombes volcaniques, et les cratères d'impacts sont nombreux autour des refuges.
La route d'ascension classique débute au refuge situé à 3 800 m d'altitude, grimpe vers la crête du cratère, se poursuit à l'intérieur de la crête du cratère est et se termine par une marche sur un petit glacier entre le sommet de la crête et le sommet du volcan (4 à 6 heures). Une route alternative consiste à atteindre le sommet à partir du S, via un campement à la laguna Patococha (3 730 m) et la Cima Minza (4 800 m).
Deux refuges desservent la route principale, le refuge Nicolás Martínez (3 800 m) et un refuge plus récent situé un peu plus bas. Les refuges peuvent être atteints en 3 heures à partir de l'entrée du parc national de Sangay (2 800 m), juste au-dessus de Pondoa.*

**Infos 1987 :**
De Banõs, le sentier efficace s'enfonce dans la forêt tropicale sur le versant N du volcan.
Le sentier est très marqué aussi évolue t-on par endroits dans un véritable tunnel de terre et de verdure.
Le Refuge Nicolàs Martinez est à 3800, là où la forêt se disperse.

De là, le cheminement se fait plein S au sortir de la végétation dans des pentes d'éboulis basaltiques, poussiéreux et abrasifs en visant au mieux de vagues croupes.
Le sommet a sans doute bougé (Création d'un nouveau cratère ?).
Les quantités de neige-glace aussi.
Quand ça sent le soufre, c'est qu'on n'est pas loin.

Descente beaucoup plus aisée droit dans la pente.

*** Infos 2018 ***

La description reste correcte. Le 1^er refuge est en ruine. Le 2^e refuge est à 3800 en parfait état avec une dizaine de places. Plus de glace au sommet. Le cratère a apparemment bien changé, partiellement comblé.
L'itinéraire a probablement évolué et le refuge n'existe peut-être plus sous sa forme initiale.